Retirer la vis : Sophie opérée en 2014

Interview de Sophie opérée en 2014 d’un hallux valgus

L’Hallux Valgus, voilà l’ancien cauchemar de Sophie qui est Chef d’Entreprise. Son métier l’oblige à rester souvent debout, malgré tout, elle a dû se faire opérer deux fois : une première fois de son hallux valgus, une deuxième fois pour faire retirer la vis que le chirurgien avait fixé pour maintenir la réaxation ; Sophie va nous parler de ses deux opérations.

retirer la vis

 

 

 

 

 

 

 

Propos recueillis en novembre 2015. S. = Sophie, V. = Virginie

V. : Pourquoi as-tu décidé de te faire opérer de ton hallux valgus ?

S. : Parce qu’il me faisait trop souffrir. Chaque soir, je ressentais une vive douleur. J’avais souvent mal et besoin de retirer mes chaussures dès que je pouvais. Je devais même les retirer pour conduire.

V. : A l’aide de quelle méthode t’es-tu faite opérer ?

S. : Je me suis faite opérer en chirurgie classique. J’ignorais qu’il existait une autre technique. Je ne regrette pas mon choix car je suis très contente du résultat mais j’avoue que l’idée d’avoir une vis dans le pied m’a effrayé.

V. : Comment as-tu choisi ton chirurgien ?

S. : Par le bouche-à-oreille et je suis ravie du résultat.

V. : Combien de temps es-tu restée à l’hôpital ?

S. : Deux jours. Je suis entrée à l’hôpital la veille de l’opération.

V. : En tant que Chef d’Entreprise, comment t’es-tu organisée pour ta convalescence ? 

S. : J’ai attendu de me faire opérer en période creuse de mon activité, c’est-à-dire, en hiver. Puis, j’ai eu la chance d’être aidée par mes filles, elles se sont occupées des tâches ménagères.

V. : Comment s’est passé ta convalescence ?

S. : Durant le premier mois suivant l’opération, je devais maintenir ma jambe surélevée au maximum, mon chirurgien m’avait conseillé d’éviter de marcher pendant les 15 premiers jours suivant l’opération. Durant ces 15 premiers jours, une infirmière venait changer mon pansement tous les jours, puis, j’ai eu des piqûres pour éviter tout risque de phlébite. Ensuite, j’ai fait des radios de contrôle et revu mon chirurgien.

V. : À partir de combien de temps as-tu pu remarcher ?

S. : je dirais environ un mois après l’opération. Toutefois, je ne partais pas en marathon, je faisais des petits trajets et marchais lentement.

V. : Ton pied a-t-il dégonflé rapidement ?

S. : Cela a pris environ 3-4 mois pour qu’il dégonfle totalement.

V. : Un an et demi plus tard, tu as fait retirer la vis qui maintenait la réaxation, pourquoi ?

S. : Elle commençait à me gêner car une sorte de bosse se formait au dessus, c’était légèrement enflé. Ainsi, j’ai préféré la faire retirer sachant que mon chirurgien m’avait confirmé qu’une fois la consolidation terminée, je pourrais demander à ce que la vis soit retirée.

V. : Étais-tu inquiète de subir une seconde opération ?

S. : Non car mon amie qui a été opérée chez ce même chirurgien a également fait retirer la vis qu’elle avait dans le pied et tout c’était très bien passé, cela m’a rassurée, j’y allais confiante.

V. : Comment s’est passé cette deuxième opération ?

S. : Très bien. Je suis entrée le matin et sortie dans l’après-midi. La photo, ci-dessus, a été prise quelques jours après l’opération.

V. : Combien de temps après cette opération as-tu pu bien remarcher ?

S. : Dès ma sortie de l’hôpital, j’ai pu marcher, cette deuxième opération a été moins handicapante, j’ai repris mes activités rapidement car cette chirurgie était moins violente que la précédente, il s’agissait simplement de retirer une vis.

V. : Est-ce que tu as eu des dépassements d’honoraires à payer pour ces deux opérations ?

S. : Non, dans les deux cas, la sécurité sociale et ma mutuelle prenait tout en charge.

V. : Je te remercie pour toutes informations et je mettrai les COORDONNÉES DE TON CHIRURGIEN prochainement sur mon site.

S. : Je t’en prie ! J’espère que ça pourra rassurer d’autres personnes qui craignent de se faire opérer.

Depuis cet article, tout va bien pour Sophie, elle remarche normalement, la cicatrice s’est bien atténuée, elle a pu reprendre ses activités.

Si vous aussi vous pensez à vous faire opérer ou avez fait retirer votre vis, souvenez-vous que vous pouvez partager votre expérience en laissant un commentaire, ci-dessous.

Faut-il se laver les cheveux avec un anti-septique avant une opération ?

Si vous vous faites opérer en ambulatoire, le chirurgien va vous prescrire un anti-septique – de la Bétadine ou autre si vous êtes allergiques à l’iode. Vous devrez vous laver avec ce produit la veille de l’opération et le matin avant l’opération. Ensuite, vous devrez vous habiller avec des vêtements et sous vêtements propres du jour.

se laver les cheveux avec un anti-septique avant une opération ?

Personnellement, je me suis demandée si je devais également me laver les cheveux avec cet anti-septique. Je me disais qu’un shampoing classique pourrait suffire. Faux. Les cliniques et hôpitaux tiennent à ce que les cheveux soient désinfectés.

La réponse est donc la suivante : oui, il faut se laver les cheveux avec l’anti-septique la veille au soir. Important : il faudra les laisser sécher à l’air libre. En effet, un sèche cheveux projette un tas de microbes – tout comme les sèches mains -, il est donc à bannir dans ce cas de figure.

Est-ce que l’anti-septique rend les cheveux poisseux ?

J’imagine déjà certaines femmes en panique à l’idée d’avoir les cheveux tout poisseux après ! Bien personnellement, je n’ai pas eu ce problème. Cependant, j’imagine que cela dépend de la texture des cheveux. D’après moi, si le produit est bien rincé, un shampoing avec votre produit habituel après l’opération permettra de retrouver des beaux cheveux tout doux.

Pour terminer, si vous vous faites hospitaliser la veille de l’opération, l’anti-septique sera fourni par l’établissement où vous séjournerez.

 

Comment se laver sans mouiller son pansement ?

Se laver facilement : voici une raison de plus de préférer se faire opérer un hallux valgus à la fois. En effet, lorsque les deux pieds sont opérés en même temps, je répète que les gestes du quotidien deviennent plus compliqués. Par exemple, prendre une douche ou atteindre la baignoire.

protege platre

Je vous propose quatre solutions pour vous laver sans mouiller votre pansement :

  • utiliser la méthode de nos grands-parents : en se lavant au gant de toilette,
  • prendre une douche : en protégeant le ou les pansements avec une botte en plastique prévue à cet effet. Ce genre de botte s’appelle un protège plâtre pour la douche. Il faudra compter environ 20 à 25€ – voir botte vendue sur Amazon et dont les utilisateurs semblent contents.
  • emballer vos pieds dans un sac plastique : cette méthode est moins onéreuse mais il faudra s’assurer de l’étanchéité de votre sac.
  • mettre un tabouret dans la baignoire ou la douche : vous pourrez vous asseoir  en gardant vos pieds à l’extérieur – sur un autre tabouret – et en veillant à ne pas mettre de l’eau à l’extérieur de la douche évidemment ! (n’est-ce pas Messieurs 🙂

Enfin, si vous souhaitez uniquement vous laver les cheveux et que vous peinez à atteindre la douche, vous pouvez les laver dans le lavabo. Je vous l’accorde, ce n’est pas super pratique mais ça dépanne !

Les bains sont déconseillés :

Il est déconseillé de prendre un bain durant la convalescence car rester dans l’eau chaude va ralentir la circulation sanguine alors qu’à l’inverse, durant cette période, il faut que le sang circule bien pour éviter une phlébite et favoriser la guérison.

Petits conseils – qui peuvent paraître évident ou pas, ça dépend… :

  • penser à préparer une serviette pour vous essuyer dès la sortie de la douche,
  • vérifier que le sol est sec avant de poser votre pied « sous pansement » sur le sol,
  • avant d’aller prendre votre douche penser à prendre votre shampoing et votre savon – ça serait bête de galérer à accéder à la douche pour se dire « mince j’ai oublié le savon »
  • garder votre téléphone portable à proximité pour appeler les secours si vous glissez sous la douche mais bien sûr, ne pas le prendre sous la douche 🙂
  • penser même sous la douche à faire au mieux pour garder votre pied surélevé. Si vous préférez rester debout, prévoyez un tabouret pour reposer votre genoux dessus. Rappel : prenez soin de protéger le pansement car je le répète, il est impératif de le garder au sec.

Bon courage !

Et vous, avez-vous galérez à vous laver ? vous pouvez partager votre expérience en laissant des commentaires !

Cliquez sur le lien pour retourner dans la rubrique questions fréquentes.

Où trouver une botte de douche ?

 

Quand pourrai-je faire opérer mon enfant ?

Comme évoqué sur ma page d’accueil, même les enfants sont touchés par les hallux valgus. La sécurité sociale recense environ 2% d’enfants souffrants de cette pathologie. Dans leur cas, cela est la plupart du temps héréditaire. Ainsi, il est probable que vous vous posiez cette question :  « Quand pourrai-je faire opérer mon enfant ? » dans cette article, je vais vous parler des différentes étapes conseillées avant d’envisager une intervention chirurgicale.

quand pourrais-je faire opérer mon enfant ?

Les pieds qui sont sur la photo, sont ceux d’une enfant qui vient d’avoir 8 ans ; on peut voir un hallux valgus – ou oignon – plutôt marqué sur le pied droit bien que d’après mes recherches, cela se développerait habituellement vers l’âge de 11 ans. Cette image prouve que cela peut apparaître bien plus tôt. Pour l’instant, il est encore facile de chausser cette petite fille, mais étant donné qu’elle est en pleine croissance, on peut présumer que la déformation va s’amplifier pour devenir très marquée.

En parler à votre médecin traitant :

À ce stade, la meilleure chose à faire est d’en parler à votre médecin traitant qui va certainement vous prescrire une paire de semelles orthopédiques pour ralentir la déformation. Pour réaliser des semelles, il faudra alors vous rapprocher d’un podologue.

Par la suite, si les douleurs apparaissent, un kinésithérapeute peut aider à soulager cette douleur en apprenant entre autre à faire des exercices d’assouplissements adaptés.

En dernier lieu, si votre enfant en souffre trop – douleurs, difficultés pour se chausser… – il sera possible d’opérer à partir du moment où sa croissance sera terminée.

Et vous, vos enfants souffrent-ils d’un hallux valgus ? Comment le vivent-ils ? Est-ce douloureux ? pensez à partager votre expérience en laissant un commentaire !

 

 

 

 

Cendrillon ? oui, c’est moi !

Cendrillon ? Oui, c'est moi !

Ce soir, ce sont les retrouvailles avec mes S. Oliver fabriquée en Allemagne et voici ce que ça m’inspire :

On s’est connu, on s’est reconnu, on s’est perdu de vue, on s’est r’perdu de vue, on s’est retrouvé, on s’est réchauffé, puis on s’est séparé (auteur : Serge Rezvani)

Vive les soldes à tout moment, j’ai acheté une nouvelle robe. Qui dit nouvelle robe dit : « avec quelles chaussures vais-je pouvoir la porter ? » Eurêka !

cendrillon ? Oui, c'est moi !

Dans un précédent article, je vous avais parlé du fait de devoir refaire ma « garde chaussures « . Toutefois, comme beaucoup de monde, il m’arrive de faire des achats compulsifs. Ainsi, j’avais il y a environ 3 ans, craqué sur une paire de chaussures tandis que j’étais en Allemagne. Craignant de ne pas la trouver en France car il s’agit d’une marque Allemande, j’ai décidé de les acquérir malgré le fait qu’en les essayant, je voyais bien que mon pied n’était pas au top dedans et surtout je voyais la vendeuse grimacer en me voyant les porter.

De retour en France, je décide de les porter en me disant « elles vont se faire ». Erreur ! je les ai portées une seule fois et au placard, mes pieds souffraient trop dedans ; j’envisageais de les donner à ma sœur qui elle a de très jolis pieds mais ne la voyant pas souvent, j’ai oublié de les lui apporter et au fond j’espérais sûrement pouvoir les porter un jour.

Aujourd’hui, en essayant ma nouvelle petite robe, cela sonnait comme une évidence, ce seront ces chaussures qui s’accorderont avec aux prochains beaux jours.

Impatiente de les essayer, je me suis vue à la limite de l’orgasme en les chaussant ! Mon pied rentrait impeccablement dedans, ça y est, je suis Cendrillon !

Chères lectrices, si vous souffrez d’une déformation des pieds, j’espère que vous pourrez un jour vivre ça. C’est un bonheur de pouvoir se chausser. Avec du recul, je me dis que c’était une chance d’avoir ces hallux valgus car grâce à ça, je mesure l’importance de prendre soin de ses pieds et je suis heureuse dès que je peux entrer dans une paire qui m’était interdite avant.  J’imagine que celles qui se sont faites opérer me comprendront !

Il est bientôt l’heure de dormir, j’ai dû me séparer de mes vieux nouveaux souliers et il me tarde de les retrouver pour qu’ils me réchauffent mes petits pieds.

 

En marchant dans la montagne avec mes Salomon

En marchant dans la montagne avec mes Salomonnnnn

Enfin, j’ai testé les Salomon Mezari en montagne et par temps froid.

chaussures marche Salomon

En 4 phrases :
  • Le boulanger sera content, il ne me verra plus venir chercher le pain avec mes chaussures de marche. Je les portais à Paris afin de « les faire » avant mon départ en randonnée.
  • Mes Salomon sont contentes car elles se sont enfin baladées ailleurs que sur les trottoirs parisiens.
  • Mes pieds sont ravis car ils n’ont pas eu d’ampoules, mes rigidus ne les faisaient pas souffrir car les semelles étaient suffisamment épaisses et rigides pour amortir le choc des cailloux.
  • Je suis plutôt satisfaite de ce modèle bien que je n’ai pas pu le tester par temps de pluie. Par chance, il n’y a pas eu de pluie durant mon séjour en Islande mais j’aurais tout de même bien aimé voir si elles étaient vraiment étanches ces chaussures !
Points positifs de ces chaussures de marche :
  • par temps sec, elles accrochent bien au sol,
  • pas de transpiration des pieds – bon en même temps je n’ai pas ce problème habituellement -,
  • bon maintien de la cheville – moi qui normalement ai les chevilles fragiles,
  • malgré mes pieds qui étaient gonflés en fin de journée, les chaussures ne me serraient pas, j’étais toujours à l’aise dans mes souliers,
  • bon rapport qualité/prix – bon il faut dire que pour 50€, j’aurais difficilement trouvé mieux.
Petit bémol :

En fin de journée, ces chaussures me paraissaient lourdes ; j’étais contente de retrouver mes baskets qui sont beaucoup plus légères. Toutefois, cela fait moins d’un an que j’ai été opérée donc je me dis que c’est peut-être tout simplement mes pieds qui étaient lourds en fin de journée puisqu’ils étaient rouges, chauds et gonflés.

EN CONCLUSION :

Je ne peux pas affirmer que ce sont les chaussures qui sont lourdes ; mes opérations des pieds sont encore récentes et j’ai peut-être forcé en marchant autant sur des terrains avec de forts dénivelés ou rocailleux. En règle général, ces chaussures ont remplies leur mission.

Vous pourrez voir les autres chaussures de marche Salomon directement sur leur site ou encore sur Amazon qui propose un large choix.

Et vous, avez-vous une marque de chaussures de marche fétiche ? Vous pouvez laisser un commentaire et vos avis.

 

 

Première sortie avec mes K-Jacques

I love mes K-Jacques

K Jacques k Jacques

La météo annonce 27° degrés, le moment est venu de sortir mes K-Jacques.

En janvier, tandis que tout le monde se ruait sur les bottes et autres chaussures d’hiver, moi, j’étais déjà en train d’essayer les sandales.

Des années à rêver d’avoir des pieds « normaux » pour pouvoir porter des chaussures ouvertes, j’ai donc sauté sur l’occasion de m’acheter LA paire de sandales de mes rêves. En effet, je tenais à être prête à dégainer dès les premiers jours de beau temps. Tandis que les clientes de chez K-Jacques me demandaient : « vous partez en vacances aux soleils ? » je répondais « non, je fête juste le fait d’avoir des nouveaux pieds ». A leur air interloqué, je comprenais qu’elles ne saisissaient pas tout !

Pourquoi ai-je choisi cette marque plutôt qu’une autre ?

Pour me sentir Kate Moss ? Non, bien que j’avoue que je bavais toujours sur ses sandales en feuilletant les journaux à scandales et qu’elle a contribué à motiver mon achat ; si j’ai jeté mon dévolu sur K-Jacques c’est parce que pour moi, c’est le MUST de la sandale : le choix est multiple à tel point qu’on s’y perdrait, la qualité est impeccable, il est possible de choisir une taille de semelle en 38 par exemple et de mettre des lanières en 39 si on a les pieds larges et c’est fabriqué en France.

Que demander de plus ?

hum… qu’ils fassent des soldes de temps en temps ou des remises aux bonnes clientes ? Oui car j’avoue m’être fait plaisir avec ce modèle qui coûte 220€. Oui, c’est un budget conséquent mais je préfère avoir une paire à ce prix qui tient la route car je marche beaucoup plutôt que d’acheter une paire dont la semelle va s’user dès le premier kilomètre parcouru.

Avantages de K-Jacques ?

Si dans quelques années mes semelles K-Jacques sont abîmées, je pourrai les faire ressemeler cela coûte de mémoire dans les 50€.

De plus, j’avais lu l’article d’une adepte de cette marque qui expliquait qu’après cinq ans, ses semelles sont encore en bon état malgré le fait qu’elle marche beaucoup avec.

Avis après ma petite sortie :

Aujourd’hui, j’ai enfin pu les tester ailleurs que dans mon minuscule appartement et c’était un bonheur. Sentir le vent chatouiller mes doigts de pieds n’a pas de prix ! Mes pieds sont biens maintenus et elles sont très agréables à porter. Je craignais d’avoir mal entre les doigts de pieds car avant, je ne pouvais pas supporter les tongs ; maintenant, cela n’est qu’un mauvais souvenir puisque j’ai pu marcher 3 kilomètres sans avoir mal aux pieds et sans avoir des ampoules malgré la chaleur. Je suis toujours aussi enchantée de mon achat.

Remerciements :

Je tiens à remercier le vendeur – qui soit dit en passant est charmant, élégant et porte toujours de très jolies chaussures -, de m’avoir si bien conseillée. En effet, j’étais tentée par plusieurs modèles mais il a su me poser les bonnes questions me permettant de choisir les sandales les mieux adaptées à mes besoins.

Notez que si le modèle que vous souhaitez n’est pas en stock il faudra environ 2 semaines pour l’obtenir donc je vous conseille de vous y prendre en avance !

Voici l’adresse de la boutique :

K-Jacques,

16 rue Pavée,

75004 PARIS

Les Horaires :

Du lundi au jeudi : de 10h à 19h

Vendredi, samedi : de 10h à 19h30

Dimanche : de 13h à 19h30

Ainsi que le site internet : http://www.kjacques.fr/

Hallux Valgus : Audrey opérée en 2012

Opération Hallux Valgus

Interview d’Audrey opérée en 2012

audrey audrey

Photos, ci-dessus, prises par Audrey cinq ans après l’opération d’un hallux valgus en chirurgie percutanée. Pied opéré par Docteur Traversari à Nancy.

Propos recueillis en mai 2015. V. = Virginie, A. = Audrey.

V. : Souffrais-tu avant de t’être fait opérer ?

A. : Oui, et j’avais aussi beaucoup de mal à me chausser.

V. : Comment as-tu connu la technique de chirurgie percutanée ?

A. : C’est mon médecin traitant qui m’en a parlé. Elle avait de très bon retour concernant les opérations effectuées par le Docteur Traversari, elle m’a dit que c’était un champion dans son domaine. Naturellement, je lui ai fait confiance et je ne le regrette pas.

V. : Qu’est-ce qui t’a décidé à sauter le pas ?

A. : Les douleurs.

V. : Comment s’est déroulé l’opération ?

A. : Je suis entrée le matin et ressortie en fin d’après-midi.

V. : As-tu souffert après l’opération ?

A. : Non, les premiers jours j’ai pris du paracétamol pour ne pas sentir la douleur et après l’arrêt des médicaments, je n’ai pas eu mal. Jusqu’au 4e mois, je sentais qu’il se passait un truc dans mon pied mais ne saurais pas vraiment le décrire. Je sentais que mes os travaillaient, cela me grattait un peu mais ce n’était pas douloureux.

V. : As-tu une vis dans le pied ?

A. : Non, le chirurgien a réussi à me réaxer l’os sans le fixer avec une vis.

V. : As-tu des cicatrices ?

A. : Non, je t’enverrai des photos, tu pourras voir que je n’ai pas de cicatrices (voir photo, ci-dessus).

V. : Combien t’a coûté cette opération ?

A. : Tout a été pris en charge par la sécurité sociale et ma mutuelle qui couvrait le dépassement d’honoraires qui était d’environ 300€.

V. : Comment as-tu vécu la convalescence ?

A. : Cela a été long. Il était possible de marcher dès le premier jour mais pas plus de 5 à 10 minutes par heure.

V. : Après combien de temps as-tu pu remarcher normalement, enfin je veux dire à vive allure ?

A. : Environ 3 mois et demi après l’opération.

V. : A quel moment as-tu repris le travail ?

A. : Étant donné que je suis debout et que je marche beaucoup lorsque je suis au travail, mon arrêt de travail a été de trois mois.

V. : Quand as-tu pu reporter des chaussures de ville ?

A. : jusqu’au 4e mois je portais des baskets puis, j’ai pu reporter des chaussures de villes mais pas trop serrées au début.

V. : Aujourd’hui, peux-tu encore porter des talons ?

A. : Oui, j’en porte quasiment tous les jours sans ressentir de douleurs. Je peux porter toutes sortes de chaussures à présent, cela m’était impossible auparavant.

V. : Question bête : le referais-tu ?

A. : Sans hésiter ! Je dois d’ailleurs me faire opérer de l’autre pied et j’irai beaucoup plus sereine car je sais comment cela va se dérouler, que ce n’est pas douloureux. Évidemment, je retournerai chez le même chirurgien.

V. : Je te remercie pour toutes ces informations. Tu m’as convaincue, je contacte le secrétariat de ce chirurgien de ce pas.

A. : De rien, tiens moi au courant !

Depuis cette conversation, Audrey est allée se faire opérer du deuxième pied. Je n’ai pas réussi à savoir comment s’est déroulé cette seconde opération mais dès que j’aurai des nouvelles, je ferai un nouvel article.

Aviez-vous d’autres questions à poser à Audrey ? Si oui, vous pouvez laisser un commentaire, je vous répondrai rapidement. Si les articles vous plaisent, inscrivez-vous à la newsletter, vous serez averti(e)s des nouvelles publications.

 

 

 

Ma verrue et moi

Verrue quand tu nous tiens…

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Que celles et ceux qui n’ont jamais eu de verrues me jettent la première pierre ! (je sais que je ne crains rien derrière mon ordinateur).

Avant mes 28 ans, je me souviens m’être vantée « je n’ai jamais eu de verrues pourtant, je n’ai jamais mis de sandales en allant à la piscine ». Quelques mois plus tard, ma première verrue plantaire fait son apparition ; mon côté superstitieux a directement pensé « tu as parlé trop vite, tu aurais mieux fait de te taire ! »… Maintenant que la verrue est là, je vais devoir tenter de l’éradiquer car elle est mal placée et donc douloureuse. À ce moment là, j’ignore que j’entre dans des années de combats.

Avant de m’attaquer à mon ennemie, je dois d’abord la comprendre !

Qu’est-ce qu’une verrue ?

La verrue est une excroissance qui se forme sur la peau (pied, main, visage…) qui est contaminée par un virus appelé le papillomavirus. Plusieurs mois après avoir contracté ce virus, les vilaines verrues pointes le bout de leur nez. D’après ce que j’ai pu lire, elles disparaissent après quelques mois mais elles réapparaissent fréquemment.

Il existe plusieurs type de verrues : communes, planes ou plantaires et ce sont ces dernières qui m’intéressent.

Les  Deux Sortes De Verrues Plantaires :

  • La verrue unique qui est profonde, ronde et sur laquelle on peut voir des tâches noires au centre (j’ai longtemps pensé que les tâches noires correspondaient à la tête de la verrue mais que nenni, ce sont les vaisseaux qui s’étendent et deviennent noirs). Cette verrue est peut-être douloureuse et surtout lors de la marche.
  • Les verrues multiples qui sont superficielles et non douloureuses.

Dans les deux cas, cela reste une affection bénigne mais je préfère m’en séparer.

En effet, elle est située sous l’orteil droit, elle est douloureuse. Après plusieurs visites auprès d’une dermatologue qui va la brûler à l’azote, je vais réussir à m’en débarrasser. Alors, c’est qui la patronne ?

Fausse joie : ♪ Qui dit piscine dit verrues et quand y en a plus ? Bien il y en a encore ! ♫

Pied gauche : apparition d’une nouvelle verrue

« O my god ! C’est promis si je m’en débarrasse, j’irai toujours en sandales à la piscine ! D’ailleurs j’y vais déjà car je ne veux pas contaminer tout le monde. En plus, je la recouvre avec un pansement. Mon dieu, soyez gentil, aidez moi, sauvez mes pieds de cette malotrue ! »

Vous l’aurez compris, cette verrue, c’est mon cauchemar ; elle m’obnubile ! Cela fait environ quatre ans que je la traîne. En cherchant un remède, j’ai lu tout et n’importe quoi : « pour la guérir, il faut dormir avec un bout de pomme de terre collé dessus », « lui dire de partir et elle partira »…

Malgré toutes les inepties que j’ai pu lire ou entendre et qui m’ont fait rire, j’ai fini par en tester certaines en me disant « qu’est-ce que tu risques Virg? ».

Point positif de cette verrue :

Grâce à elle, je suis incollable sur les traitements qui existent et de cette expérience je retiens plusieurs leçon, à savoir :

– ne jamais crier Victoire trop vite,

– toujours aller en sandales à la piscine surtout si vous avez des coupures aux pieds,

– bien s’essuyer les pieds avant de se chausser.

Prochain article :

Place à Virginie en mode Cobaye, j’espère réussir à vous aider à trouver un moyen efficace de chasser la ou les vilaines VERRUES !

Pensez à partager vos secrets pour éradiquer les verrues en laissant un commentaire !

La chirurgie classique dite à ciel ouvert

La chirurgie classique dite à ciel ouvert est la plus répandue.

la chirurgie classique dite à ciel ouvert
Photo, ci-dessus, prise le lendemain de l’opération d’un hallux valgus.

D’après certains chirurgiens c’est la plus complète dans la résolution des différents problèmes. Ce serait également la plus précise dans l’exécution des gestes qu’ils ont décidés de réaliser. Il s’agit des techniques d’ostéotomies  de réaxation des os qu’ils font à ciel ouvert, c’est-à-dire, que l’ouverture est relativement importante. L’opération est plus simple à réaliser qu’une chirurgie percutanée.

Les deux façons de faire les plus courantes :

L’ostéotomie dite de Scarf et le Chevron. Pour fixer les os dans leur nouvelle orientation, ils implantent des vis, agrafes ou des broches en métal qui ne seront pas retirées car elles sont bien tolérées.

Toutefois, je sais que la vis peut être retirée si elles vous gênent. Voir l’interview de Sophie.

Radiographies :

Des radiographies et un plan pré-opératoire sont nécessaires.

Cicatrices :

la chirurgie classique dite à ciel ouvert

Grâce à la photo, ci-dessous, vous pourrez voir que la cicatrice ne sera pas très importante malgré l’ouverture qui était impressionnante.

Pour avoir une « belle cicatrice », il faudra surtout éviter de l’exposer au soleil pendant un an et la masser régulièrement.

Si vous avez des questions, vous pouvez les poser en postant un commentaire.